A vouloir dire non à toute évolution comme elle le fait depuis trois siècles, quitte à prendre le train en marche par la suite, l’église de Rome se disqualifie. Certes elle a droit d’interroger la conscience de ses fidèles. Quelle le fasse dans le domaine de sa compétence qui est l’Evangile ! Elle se trouvera alors dans la perspective du concile Vatican II qui voulait cette réconciliation de l’Eglise avec le monde.
[Collectif des Prêtres ouvriers] Au nom de qui parlent-ils ?